Le corps peut-il, par le son et la lumière, réinventer l’espace sans pour autant le déshumaniser ?
Dans un monde où technologie et humanité se rencontrent, des interrogations s’élèvent sur la place de nos corps dans l’espace et la part que nous représentons dans notre environnement. En s’intégrant aux espaces qu’ils transforment, le son et la lumière ont le pouvoir de magnifier l’ordinaire, transformant des espaces en expériences.
J’ai décidé de faire moi-même ma couverture. Pour cela, j’ai réalisé un auto-portrait photographique en explorant des effets de lumière et d’ombre. J’ai ensuite sélectionné plusieurs photos puis je les ai retouchées.
À gauche vous pouvez voir un de ces essais photographiques. Et voici ci-dessous la couverture finale de mon mémoire.
CRÉANCIERS
Ici, notre travail consistait à imaginer et à créer un décor de théâtre. Nous étions en partenariat avec Phillipe Calvario, comédien et metteur en scène français, ainsi que la maison de la Culture de Nevers. M. Calvario a réalisé une pièce se nommant “Créanciers”, sur laquelle nous avons donc travaillé. Ce projet a débuté par le visionnage et la lecture de la pièce (jouée au théâtre de l’épée de bois à Paris). Une fois la pièce visionnée et lue, nous avons pu, par groupe de trois, mettre en avant les notions que nous voulions faire apparaître dans notre projet. Cela a été possible grâce à une analyse approfondie du champ lexical de la pièce. Une deuxième analyse a ensuite été effectuée sur le décor.
Avec toutes nos mesures, nous allons pouvoir nous servir de logiciels 3D. Ces modélisations serviront à expérimenter les différents éclairages et permettront aux clients et à nous-même de mieux nous projeter.
Pour parvenir à ce résultat, ce sont les logiciels sketchup et twinmotion qui ont été utilisés. Une fois la structure réalisée, nous avons “joué” avec la lumière. Le champ lexical nous a permis de définir des ambiances. Celles-ci vont permettre de faire ressortir les émotions principales des personnages.
La réalisation de la maquette a ensuite débuté. Après sa réalisation, nous avons installé les éclairages. Ici encore nous explorons les lumières, mais aussi la prise de vue des photos, qui est très importante.
PARASITE
Ce court métrage illustre à quel point les réseaux sociaux parasitent nos vies et nous empêchent de vivre pleinement.
Ils nous embarquent dans une spirale infernale qui nous entraîne toujours plus loin dans une addiction malheureusement bien trop commune aujourd’hui.
Et nous sombrons, sans nous en rendre compte. Jusqu’à ce que le réveil sonne.
Ce court-métrage a été réalisé pour le projet Parasite, en expression plastique. L’idée était de montrer le temps qui passe et les problèmes liés aux écrans.